Notre roman
L’écriture de science-fiction est intimement liée à la prospective créatrice.
Plusieurs médias ont prêté à mon roman Moi, Omega (Bouquins), Prix Mottart 2023 de l’Académie Française, une dimension prospectiviste :
- Futuribles : « Dans ce premier roman, qui se lit comme une fresque du futur, on suit l’histoire de Ian Ginsberg, un brillant étudiant de Harvard qui a créé le réseau social Friendscreen et a pour ambition (folle ?) de connecter tous les individus de la planète et d’en devenir leur dieu. » (Laurie Grzesiak)
- Marianne : « Moi, Omega ajoute à sa finesse d’analyse de nos mœurs une capacité de projection dont les futurologues et autres petits-maîtres de la prospective sont bien incapables » (Jean-Paul Brighelli)
- Le Figaro : « Ce livre anticipateur et original, mêlant science, philosophie, et mystique, questionne notre rapport au religieux dans une modernité en crise » (Aziliz Le Corre)
- France Inter : « La lecture en est infiniment jouissive, et l’on s’aperçoit en fin de compte que l’intelligence artificielle et la numérisation peuvent être des pièges dans lesquels nous pourrions tomber les yeux fermés. Il est heureusement des écrivains qui nous permettent de garder les yeux ouverts et de tendre une petite chandelle dans la nuit » (Christophe Bourseiller)
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